Sophie, Marc et les receivers

Il était tard dans le laboratoire. Quelqu'un avait allumer les lumières électriques. Outre leur bourdonnement, le cliquetis de vitre sur le métal à intervalle espacé et quelques insecte aux loin, il n'y avait aucun bruit.

Angela, quoi qu'aimant bien la science, n'en s'avait pas assez pour comprendre ce que Kara lui demandait mais, se pliait à ses demandes; lui passer les fioles, noter les résultats et redessiner ce que Kara lui montrait dans l'oeil de la petite machine qui lisait la glace.

La soirée était longue pour la petite. Rapidement, le travail entre 4 murs devenait monotone. Angy frissonna. Elle se retrouva à fixé par delà la vitre de la porte.

Elle songeait a Sophie en cette nuit froide; en jupe, quelque part, apeurer, faible, blessé, seule.

-Kara?, commença Angy d'un ton inquiet. Qu'est-ce qui est arriver avec Marc?

-Quelqu'un a vus les recivers mort… m-marcher?

Angela regardait le plancher.

-J'avais jamais entendu dire que la radioactivité pouvais faire marcher les morts… J-J'pensait que tu était avec eux lorsque sa exploser… Je me demandait comment tu était la seule à t'être rendu jusqu'ici! Je… je suis désolé.

-Oui, dit-elle en se levant.

L'idée de retourné sur ses pas traversa son esprit. Elle commençais à faire l'inventaire mental de ce qu'elle avait comme provision, comme matériel légé et combien de jour à pied le trajet lui prendrais, de Saint-Alex à Boiarnois. 

-J'm'inquiète pour Sophie, pour Marc, pour…. les recivers même. J'ai presque pas dormis cette nuit, j'pensait trop à Sophie… après qu'elle soit partie, hier. 

…Voyager la nuit, dormir le jour. Angela n'était pas ingorante de la vie en territoire hostile, bien au contraire.

-J'crois pas qu'un petit tour dans les alentours ne suffira pas à les retrouvé. Une piste de Sophie au mieux, mais pas Marc et les recivers. Pour ça il faudrait retourner à Boiarnois.

Ouf, tu sais je ne sais pas vraiment me battre, en fait je me suis jamais attardé à cela. On pourrait se cacher tout au plus. Je sais soigner par contre...


Elle frissonna, bouger la nuit ah là non pas question...En plus, il lui fallait un arme ce qu'elle n'avait pas et n'avait jamais eu, par contre retourner a Beauharnois lui permettrait peut être de récupérer l'ourson en plomb. Il commençait à être temps qu'elle ai au minimum un arme de défense, puisque ceux qui devait la défendre avait tendance à disparaître.


Hum, mémé nous a montré des cachettes en chemin, je crois que la nuit c'est mieux de rester en place.


Très cours silence... 


C'est sur on se fait moins voir, mais en même temps ça nous met en situation dangereuse... La nuit on ne voit pas trop ce qui pourrait nous arriver dessus par surprise ou on ne voit pas super bien ou l'on met nos pieds. En plus, les nuits sont étrangement fraîche pour un mois d'août, alors autant trouver une endroit au chaud et facile à défendre. Si nous sommes que nous deux je crois sincèrement qu'il y a un danger, par contre si on part avec tes amis le chirurgien et l'autre là... Bref, qui savent assurer une défense même la nuit, ça pourrait aller. Pour se soir restons dans les environs à voir pour Sophie, préparons nos sacs et partons très très tôt au matin, dès le lever du soleil après que je me suis... sois... occupée du puits pour qu'il est assez d'eau pour un petit moment.

-You never been in a fight!?

Angela ne comprenais pas que jamais Kara n'est eu d'interaction avec un animal, une créature, une goule ou pire, un humain. Elle secoua la tête l'aire de dire; bien voyon! déjà elle ouvrait la porte et marchais plus rapidement vers son logis.

-Ha… heu… j… C'est probablement mieux que tu reste ici. Je ne voudrais pas mettre ta vie en dangé n'y celle de mes amis.*rire nerveux* Pat est meilleur pour perdre sa jambe que pour faire la garde, Brown est plus bruyant qu'un troupeau de vache et doc va probablement décider de faire la sieste aux lieux de venir nous aider si on est enlever par des recivers. *dit sans méchanceté, mais avec un fond de vrais* Si je devrais prendre quelqu'un avec moi …se serait Francis. Mais je doute qu'elle soit dans le coin et qu'elle accepte le peu de caps que j'ai pour une si longue route. Hee…

Sourit amusée de la réaction... Elle comprend très bien l'anglais et le parle mais n'a pas envie pour le moment.

- Jamais été est un grand mots qui n'a pas assisté ou aider pendant une bagarre, ce que je veux dire c'est que généralement je suis...Derrière et je ramasse et soigne ensuite. Si j'ai un arme c'est clair que si je dois me battre je vais le faire... Au nombre de bagarre ici, et partout, j'étais là, mais en tant que personne qui soigne pas en tant que personne qui se bat. Se faire prendre par des ''receiver'' transformer en je sais pas quoi ok... Je ne sais pas s'ils ont tous eu le même sort, j'espère que non.

-Marc est important, je n'ai pas très confiance à cet goule qui tien les champs. Surtout qu'il y a se drôle de phénomène qui le suit, chaque fois qu'il est dans les parages quelques choses disparaît, tu te souviens les fleurs...En plus on ne sera pas trop de deux Puisatiers à la quantité de gens qui loge avec nous. 


-Sophie je m'en voudrais de savoir qu'elle ses faits rattraper parce qu'elle a dit aller au toilette et n'est jamais revenue. Faut dire je ne m'attendais pas à ce qu'elle se pousse. Faut croire que la peur de sa famille et des réactions ce celle-ci est plus forte que celle de mettre sa vie en danger en se poussant sans aide.

-Si on va par ordre d'importance, les ''Receiver '' ou ce qui en reste savent se défendre et se débrouiller quand même, si ils sont mort en genre de mort-vivant animée par je sais pas quoi, ils ne sont pas aussi important que les vivants comme Sophie qui doit être proche ou que Marc qui s'il est encore en vie a besoin d'aide...

Elle mâchouillait ses mots, elle n'Avait pas du tout envie de passer les ''Receivers'' en dernier, mais en ordre de besoin,de nécessité et de chance de survie fallait suivre la logique et non le coeur. Son côté scientifique venait de prendre le dessus, il y a un ordre dans toute chose et suivre la logique est ce qu'il y a à faire dans les situations comme celle-ci.

Suit la petite... Ne veut surtout pas rester seul dans un endroit ou des bêtes attaquent parfois.


Avec un bout de tuyaux, un couteau ou un bâton je pourrais me défendre...Si ça peut te rassurer.

La petite ne comptait pas se battre. Elle était si habile à se cacher qu'elle ne craignait pas de partir seule. La seule chose qui la tourmentais, vraiment, c'était le froid.

-Pas de chance, j'ai donné mon couteau a Sophie…

Elle se dirigeait vers son cubicule et s'agenouilla pour fouiller un des sac par terre. (le sac de pat, c'est lui qui traine tout)

Visiblement, la petite blonde se départisait son collègue d'objets qu'elle trouvais utile.

-J'connais pas la région de ce coté si de du richelieu, j'pourrais pas dire ou il y'en a… et je n'est pas croisé sur ma route. Alors à moins qu'on croise quelqu'un qui nous force à faire détour… Ou sur le chemin du retour. il y a une ville la bas nomé saint-jean, on peu faire un tour a notre retour ... Ou ramasser quoique ce soit qu'on est trouvé et caché, comme tu veux.

Elle commença à roulé son sleeping bag.

-J'aimerai partir se soir. Plus on attend, plus Sophie est en danger.

Elle n'a pas d'arme. Elle reste ici. En même temps… Elle a déjà fait la route… *prend une grande respiration*

-Parfait, gather tes choses, il va faloir demander à big daddy les dernières pistes qu'il a de Sophie sur les caméras, se résigna-t-elle.

Elle ne voulais pas la mettre en danger, mais qui était elle pour juger la valeur d'un homme. Qui sais, Kara trouverai peut-être Sophie avant elle.

-Pat ma dit qu'il avait des records d'elle. Avec un peu de chance, on va savoir par quel direction elle est partie. Je vais chercher le Doc. Il nous sera utile!

Elle disparut vers l'infirmerie, à gauche, sans faire le tour, la ou la vitre du laboratoire et le café se trouvais.

*tock tock tock*

-Brown? fi-t-elle au travers de la porte.

Sa voix était étouffé par la vitre.

-Tu peu venir dans le hall?

Le Docteur était assis sur un des sofas de la salle médicale avec son gun attendant qu'un blesser arrive comme il faisait maintenant. S'en était rendu quasiment un habitude. Quand il entendit la voix de Angelia, il se leva et marche pour la rejoindre. Malgré tout, il gardait un grand respect et loyauté envers la "boss".

Oui Badger? comment puis-je vous aider aujourd'huis?

-J'part, dit elle en ajustant son sac. Je m'inquiète pour Sophie. J'vais essayer de la retrouver, puis Marc et les recivers. Si j'trouve Sophie, je vais l'amer à Allan et ton infirmière, à l'autre campement. ...Tu veux venir?

- Pourquoi pas...

Il prit son sac a dos non loin et revint...

- Apres tout, si je reste ici, je vais encore devoir patcher quelqu'un... Sa va faire changement de se promener et de ne pas devoir reparer quelqu'un... D'autre personne avec nous?

-Pour de vrais?, fi-t-elle surprise. C'est genial! Kara viens avec nous. Je t'attend de l'autre coté.

Elle fit quelques bond de joie vers son boxe puis s'arrêta, revint sur ses pas et yeuta le café, puis bue tout ce qui restait de la carafe -fit une moue dégouté- avant de poursuivre son chemin.

Elle partie a la recherche de Big daddy

Comme à son habitude Francisse était assis sur un divan devant la porte du bureau de Daddy un verre de fort à la main.  Encore une prostituer qui chialait et qui devait être remise à sa place. Comment il pouvait endurer toute ces lamentations, elle il ferait longtemps que cette pauvre fille aurait fini de geindre. M’enfin ce n’est pas son commerce de gérer cette endroit. Elle soupira bruyamment la soirée était longue et ennuyante, elle aurait bien prit une partenaire pour se divertir, malheureusement Tiger était déjà trop occuper et hors de question de toucher a cette petite chose en larme dans le bureau de Daddy.

Elle entendit la voix de blondinette au loin, tien sa se serait un bon plan de match pour la soirée… ah non elle appelait la goule… ah ouais une goule… dommage que ce soit invalide c’est chose.

Elle prit une longue lampé de vodka qui s’ajustait a son doux parfum de fond d’tonne. Elle se leva comme si aucune goutte d’alcool ne coulait dans son sang et alla se planter sur le bord de la porte du bureau. Elle aussi avait à parler à Daddy.  Enfin la porte s’ouvra mais au même moment que la donzelle sortait et que blondinette de présentait. Francisse haussa un sourcil la regarda s’approcher et quand elle fut assez près elle lui lâcha un sonore sifflement d’appréciation.

- Salut ma jolie.

Elle fit un grand geste du bras en s’inclinant légèrement de côté pour laisser passer la dame d’abord.

- J’peux bien passer mon tour si ça me permet d’avoir une si belle vu.

 Elle toisa Angelina tel un fauve devant sa proie. Elle se tenait bien droite et parlait de façon étonnamment bien articuler pour quelqu’un qui empestait l’alcool.

Angy recula d'un pas, esquivant une des … ''fille'' à Big Daddy qui éclipsait, mouchoir à la main. Elle la toisa rapidement, toujours de se même air, bouche pincé, comme si elle voulais ajouter quelque chose, sans trop savoir par ou commencer. Elle n'avais jamais vraiment compris comment on pouvais préféré se métier a celui de trimardeur. Et tout ses antécédent sur le sujet lui rappelais que sa place était de l'autre coté de la sale de débauche, la ou le sol était tapisser d'herbe à poux et de merde de vache à deux tête.

Elle crut que le sifflement et la salutation de Frank étaient pour la dame qui venait de sortir. Aussi, sans se soucier de quoi que se soit, pourtant très alerte de ce qui l'entourais, elle envoya son plus terrible sourire a Big Daddy. Elle ne pouvais pas s'empêcher de penser qu'elle le dérangeais sans cesse et, que comme tout les gens qui séjournait chez lui, l'ennuyait. Ses doit se serrèrent sur la ganse de son sac.

-Non, n-ne rien!, se dépêcha-t-elle, J'voul-

Sa voix était si faible que probablement n'y Francisse n'y Big Daddy l'avais entendu. Elle compris que Francisse s'adressait à elle.

''Elle fit un grand geste du bras en s’inclinant légèrement de côté pour laisser passer la dame d’abord. 


- J’peux bien passer mon tour si ça me permet d’avoir une si belle vu.''

Angela était partie pour dire quelque chose, le visage tordu entre: ''dire ce qu'on pense'' et ''mais qu'est-ce que tu essaye de faire?'' mais finalement, bouche ouverte, se contenta d'aspiré de l'air.

-Merci, Franky.

Il eu un moment ''awkward'' ou elle constata comment Francisse la regardait avant qu'elle ne yeute rapidement à gauche et à droite avant de s'éloigné des deux gens d'un pas de plus, avant de tendre la mains vers le régisseur de l'endroit.

Elle avait cette façon de s'adresser à lui comme si tout ce qu'elle disait était une blague scénarisé et qu'elle tentait de ne pas rire, tout en essayent de prendre le ton le plus sérieux qu'elle pu.

-J'part pour quelques jours. J'm'inquiète pour Sophie et j'vais ratisser les alentours pour essayer d'la retrouver. J'vais probablement retourner à deux de mes anciens campement, voir si un de mes amis fermier est toujours en vie.

Elle lui laissa le temps de procédé les informations et lâcha un coup d'oeil au démon derrière elle.

-Tu voudrais tu me montré la dernière caméra qui à filmé Sophie? 'savoir dans quel direction elle est partie… Si c'est possible...

Aurélien s'effaça pour la laisser entrer dans le bureau. L'air goguenard de Francisse ne lui échappant pas, il lui lança:

"Eh, la grosse, au lieu de boire le fond de commerce, tu ne peux pas aller nous trouver une nouvelle chèvre? Y'a du monde qui s'ennuie d'Églantine!"

Il ne lui laissa pas le temps de répondre et referma la porte. Angela Quelque-Chose était allée s'asseoir sagement sur la chaise qu'avait occupée Marie un peu plus tôt. Il s'assit à son bureau et secoua un peu la souris pour réveiller l'ordinateur poussif. Ce faisant, il jetta un regard en coin à la petite. Drôle de fille. Elle semblait ne jamais savoir comment s'adresser à lui. Dans un sens, ça ne lui facilitait pas la tâche non plus. Les putes, les miliciens, tous ses employés le craignaient, le respectaient et lui vouaient une gratitude bizarre. Ça, il avait l'habitude, c'était un mode de communication qu'il savait gérer. Ses locataires, les nouveaux, c'était autre chose, il y avait ceux qui avaient toujours quelque chose à demander, qui cherchaient toujours à obtenir quelque chose de lui. Il y avait ceux qui comprenaient le donnant-donnant, le chirurgien, le grand patenteux timide, des braves types avec qui il trouvait toujours moyen de s'entendre. Et puis il y a avait les autres, comme cette Angela, ou la puisatière. Bref, les gonzesses. Après tout, c'était peut-être lui qui avait un problème à communiquer avec les filles qui n'écartaient pas les jambes pour vivre. Ouais, c'était probablement ça...

Les caméras n'avaient pas grand chose à dire. Aurélien se sentait vaguement géné de ne pas pouvoir donner des indications plus utiles.

"Il n'y a pas de caméras dehors. Pas encore. Si tes copains s'activent, ça va sûrement se faire, mais là... Je peux te dire par quelle porte elle est sortie, rien de plus. Et encore, tu as de la chance, je ne garde pas les fichiers pendant trop longtemps, ça bouffe de l'espace, ces saloperies... Si tu veux mon avis, elle est retournée chez son père, donc, du côté de Beauharnois. Tu connais le chemin, tu sais que ce n'est pas de tout repos. Je peux te faire escorter par des miliciens un bout de chemin, mais dés que tu vas arriver sur le territoire des Dumarchand, je ne peux plus rien pour toi, ça aurait l'air d'une provocation et nous n'avons pas besoin de ça. Je peux passer le mot aux patrouilles pour leur demander d'ouvrir l'oeil, au cas où ils tomberaient sur ton ami. Il suffira de me dire à quoi il ressemble, çe ne coûte rien d'essayer. Tu as assez de bouffe pour le voyage?"

Il allait trop loin, il s'en rendit compte. Trop loin, trop vite. Ça devait avoir l'air bizarre.

Il s'empressa d'ajouter : "Je peux te faire un prix, pour la bouffe."

Comment Sophie pouvais être terroriser par cette homme et cet endroit? Ce n'était certainement pas une partie de jambe en l'air ou un massage qui allait dévasté ce qu'il restait de Quebec. Son visage se craqua en un large sourire qu'elle tenta -sans réussir- de cacher.

-Nha, j'ai tout la nourriture qu'il me faut, merci …Big Daddy.

L'horrible bruit de velcro de son sac retenti. Elle mit la main sur le livre de mémé, un crayon à l'ancre et l'ouvrir sans façon sur ses cuisses. Elle haussa les épaules.

-…J'était dans la cuisine lorsqu'elle c'est sauvé, elle disait vouloir allez au toilette. J'était sur qu'elle allait s'enfuir… je lui est donné mon couteau. (sourpir) J'aurais du lui donné plus. … Je pense aussi qu'elle se dirige à Beaharnois.

Déjà, elle avait tracer quelques lignes sur le papier et poursuivait:

-L'homme que je cherche s'appelle Marc. Il est grand, aussi grand que Pat, mais il est beaucoup plus carré d'épaule et on peux voir les os de ses cotes tellement il est maigre. Il est plutôt mou et lent dans ses gestes. Il porte une chemise blanche un peu trop grande pour lui et des pantalon noir. Il a un sac en bandoulière bleu et une sacoche banane bleu poudre. C'est impossible à manquer. Il a ton teint de peaux, puis les cheveux de cette longueur …noir. Il a un profil mémorable, un nez prononcé, un grand front, des joue creuses et une mâchoire vraiment solide …couverte de barbe.

Elle le décrivais lentement, chaque détail, au fur et à mesure que son dessin devenais plus en plus claire. Elle esquissait rapidement, et son dessin ne pris qu'une minute et demis au total à faire. Elle déchira le dessin et le tendis à Big Daddy. 

https://2img.net/h/s23.postimg.cc/xg1jclq2z/Marc.jpg

-Il est radin et a mauvais caractère, mais ce n'est qu'en apparence, ajouta-t-elle sans malice. C'est un fermier qui aime le bon travail.