Un 12 septembre en soirée.

(Premier role-play par écrit depuis 3 ans donc soyez sympa de pas me jugez svp !)

En debut de soirée..

La bonne blague que la nature avait montrée pendant la quasi totalité de la journée, c'est-à-dire l'eau qui tombe du ciel, est de mauvais gout pour Allan Badger, car il n'aime pas les répercussions que sa crée sur ses méthodes de survie à lui.

Le propecteur a la tete rasée ne parlait guere a personne depuis les derniers jours, sauf la fois où il est aller discuter avec Big.
Il se sentait moins destabilisé qu'a son arrivé, or la plupart des batiments et les gens lui restait étrange.

Pour se changer les idées, Allan aime faire le recensement de divers choses qu'il juge utile à connaître par les autres gens. Le cas est qu'il n'a pas encore eu le temps de faire cette  inventaire des lieux comme il l'avait suggeré à Big Daddy.

Allan était resté dans le laboratoire pendant la pluie.
Assie devant la table qui est placé à côté de la porte extérieur, à écrire une analyse sur la fleur que Evan avait trouvé.
Il arreta son travail e il regarde le ciel par la fenetre de la porte, puis il soupir.

C'est temps si, la petite cueilleuse de fleur s'isolait des autres. Elle avait commencer ça récemment.

Ce n'était pas son genre. Ce n'était pas son genre non plus d'ouvrir la bouche pour tenir le même type de conversation qu'une mégère aurait eut. Pourtant, c'est ce qu'elle fessait. 

Ses camarade la trouvais à-pic, impatiente, et impolie. Tout le contraire de ce qu'elle reflétait généralement.

Elle avait tout les symptôme d'un animal en cage. Un animal d'on on allait secouer la prison de temps en temps.

Elle passait la plupart de son temps dans la déchiqueteuse ou dans le labo, crayon sur le papier de son carnet, à redessiner les fleurs que Marc et Kara rapportaient. Parfois, elle était si encré dans la relecture de son livre qu'elle sautait des repas. 

Malgré les divers obstacles et restrictions qui l'empêchait de faire plus de 15 pas à l'extérieur, elle s'entêtait à sortir une fois de temps en temps et à mettre sa vie en danger. 

Au diable les T-rex, les dumarchands, les monstre rampants, les vendeurs d'esclaves et la pluie, elle était sortie. 

Le loquet de la porte du labo s'ouvrit, puis elle referma discrètement la porte, en ne manquant pas de mouiller le planché. Elle envoya un petit ''he'' et un sourire compatissant, un peu forcé, à Allan. 

Elle comprenait qu'il n'allait lui-même pas très bien. Ils avaient vécu si longtemps ensemble qu'en un seul regard ils pouvaient se résumer leur pensées et ses pensées en se moment étaient: mais merde, qu'est-ce qu'on fou ici?

Elle s'affaissa dans une chaise entrepris de retiré ses bottes et ses bas trempées.

La porte qui s'ouvra fit à Allan un retour dans la réalité, puis il reconnu la jeune chasseuse de sa famille. Il réagi à peine au sourire forcé d'Angela, mais intéreurement l'image de sa demi-soeur qui sourit lui fit chaud au coeur meme si l'image est faussé.

Par habitude, il rangea tout de suite son crayon et son carnet dans une poche de son pantalon, car il ne veux pas qu'on vole ses note ni de les laisser a un endroit qui pourrait ne plu etre accessible dans les prochaines heures. 

Il se retourne vers Angy et comprit la raison qui fait qu'elle enleve ses botte, d'instinct, Allan fouilla dans son gros sac de voyage et sorti une paire de bas en laine qu'il garde pour les nuits froides.

Hé .. j'ai sa pour tes pieds ? dit'il en sachant d'avance qu'elle ne va pas les utilisé.

Tordant ses bas, elle fit un légée ''non'' de la tête.

-Non, c'est correcte.

Elle se débarrassa sans délicatesse de son sac qu'elle jeta par terre et y lança ses bas. Son chandail de la DRF, aussi trempé que ses cheveux, elle le mit sur le dos de la chaise. Puis, sans dire quoi que se soit, elle entrepris de continuer de lire son livre, molle comme une larve, tête sur son bras, bras replier sur la table.

Si on portait attention, on pouvais s'apercevoir que même après un long moment, elle ne tournais pas les pages. Elle était peut-être perdu dans son imagination. Ou peut-être dormait-elle?

Allan n'ajouta rien pendant qu'il range la laine dans une poche de son sac et il laissa le silence s'instaler dans la pièce.. apres quelques minutes de réflexion, il se leve de sa chaisse pour ainsi dégourdi ses jambes.

Il avance tranquillement vers Angy, un peu nerveux, il mit un genou sur le sol et il tend un petit objet rond dans sa main vers la demoiselle .


''Des choses me detruit depuis notre dep... je t'en prit angy..'' dit'il nerveusement.

Spoiler:

Les relations familiales étant ce qu'ils étaient; Ignorer la plupart du temps un membre sa généalogie sans pour autant ne pas le priser, jusqu'à ce qu'on le sollicite pour moult prétextes, Angela ne senti pas l'urgence de s'enquérir de ce à quoi son frère s'occupait.

Dos à Allan, affalé sur la table noir, si près de son livre que sa joue touchait le carton lustré, elle fini par relever la tête -un temps délibérément trop long, trop tard- juste assez pour entrevoir entre ses rouflaquettes détrempé ce que son ''frère'' trafiquait près du frigo.

Le mécanicien vit la petite passer un rapide regard emplâtre sur lui, sur l'anneaux, puis se figer.

L'émotion qu'afficha Angela était semblable à celui qu'on pouvais s'imaginer qu'elle aurait si on lui avait demander de courir pour s'empaler elle-même sur une pique. Une combinaison de la peur, de l'appréhension et du spleen. 

...C'était un peu offensent.

Mais tout ce qu'on pouvais voir d'elle, le nez masquée derrière son bras et la plupart de son visage voilé par les algues blondes qui lui couvrait la tête, c'était ses yeux écarquillées. Des yeux rouge aux cils gommant. Des yeux qui avaient récemment pleurée Marguerite, des yeux qui éconduisaient qu'une bague bricolé du même métal qui recouvrais ses flèches ce présentait à elle.

Ses mains et ses jambes se délièrent de son état statufier. Délicatement, ses paumes trouvèrent appuis sur la table et ses pieds s'écartèrent pour la soutenir, à plat au sol. Elle était perte à bondir.

Fessant incessamment de court ''non'' de la tête, elle se redressa à la vitesse d'une personne âgée, regard vif et désapprobateur. Angie articula un franc;

-'U cannot be serious?

Le mécano fut paralyser par le comportement de sa demi-soeur, il eu un regard vide, puis il se revele en gardant l'anneau dans sa paume.

Stoique, Il regarde autour de lui en ignorant le pourquoi, il tourne nerveusement la tete dans tout les directions.

La boss a visiblement pleuré dans les dernières heures; ses yeux sont fatiguées et irritées. Elle persiste sa course au redressement ralentis.

Alerte, elle jette un regard à l'anneaux puis aux visage de son demis-frère, attendant toujours une réponse.

Son regard s'arreta dans les yeux d'Angela, or il reprit controle de ses émotions.

- C'est le cas, et pas pour un mariage d'amour.

Angela lui rendit son regard et des larmes montèrent malgré elle, embrumant sa vision.

-Excuse moi, ...J'te demande pardon?!

Si le laboratoire avait été plus proche du bureau de Big Daddy, les deux Badger auraient entendu un bruit de liquide renversé suivi d'une toux inextinguible.

Aurélien posa sa tasse de café et essuya l'écran de son ordinateur. Voilà à quoi menait un petit balayage de routine des caméras de sécurité, on finissait par s'étrangler dans son café en tombant sur des scènes invraisemblables.

"Non mais on avouera, quand-même, grommela t'il entre deux quintes de toux, ça devient carrément spécial..."

Allan fait un *facepalm*.

- Les putes du coins, je trouve sa desagreable, je veux juste qu'on me foute la paix ! souligne le mécano qui se trouve idiot.

Angie inspira lentement et parut soulagé.

Du tac au tac, elle ignora Allan. Fixant le vide devant elle, en pleine introspection, elle rit jaune en secouant la tête. Son frère devais être devenu fou. Quel sorte de personne irait demander une fille morte de chagrin en mariage, sous prétexte que les putes des alentours ne lui fichait pas la paix? Qu'il les refuse ses putes! Depuis quand dire ''non'' était devenu si compliqué? 

Ce n'est pas comme si c'était si terrible de se faire désirer d'un coter ou de l'autre. Lui au moins n'était pas désiré par des hommes armée qui en avait probablement rien à foutre de se faire dire ''non''.

La petite bougea brusquement, agrippant son livre et son sac, tappant la table au passage, c'était terrifiant.

-Ah! Ta vie doit être insupportable!!!

Elle s'en fu à grande enjambé vers la porte qu'elle ouvrit sec et referma sans claquer.


[Suite dans la déchiqueteuse dans le post ''L'hiver s'en viens, Tabarnak'']

L'envolée et la repplique cassante de la chasseuse, l'affecte davantage qu'il le pensais. Il sortit un couteau de sa poche de son habit pour gratté legerement la peau de son bras nerveusement au sang.

Plus tard, il prit une bonne respiration, puis il sort a son tour du lab.

Non, il ne fallait pas espionner les gens exprès sur les caméras de surveillance. C'était mal. C'était aussi assez distrayant, en fait...

Il regretta de ne pas avoir le son, ou que la résolution soit trop mauvaise pour pouvoir lire sur les lèvres. En tout cas, la petite semblait être sortie de sa morosité pour entrer en mode saine colère. C'était un progrès, enfin, ça avait l'air d'en être un. Quant à Allan, c'était officiel, il était dingue...

"Il te faut une canne aussi, Angela, c'est ça qu'il te faut!" Dit-il à l'écran avant de fermer l'écran et de se servir un petit verre de bourbon.

* RP continué dans un autre sujet, on ferme donc ici!   *